C’est presque une figure imposée du content marketing : essaimer des formulaires de « leads gen » à travers les contenus ou même verrouiller les contenus derrière des formulaires. Une pratique remise en cause par le NoMQL movement.
Les stratégies de contenu, c’était plus facile avant. Dans #CausonsContentStrat explorons les nouvelles règles du jeu.
Les stratégies de contenu ne sont pas toujours couronnées de succès. Parfois, la machine se grippe. Revue des principales chausse-trapes.
La planif, en matière de stratégie de contenu, c’est une charpente. Plus les piliers sont nombreux, mieux elle se déploiera dans le temps, avec cohérence et performance. Alors, on met quoi dans la planification ?
Il n’existe pas de contenus « neutres » mais seulement des contenus qui nous rapprochent de nos audiences ou nous en éloignent. Quelles questions nous poser pour affûter nos contenus ?
C’est la pierre angulaire du Content Marketing : le fameux sweet spot. Le terrain de jeu éditorial sur lequel vous comptez faire entendre votre différence. Problème : beaucoup de ces terrains sont aujourd’hui occupés, voire saturés.
Difficile aujourd’hui, même pour de grands groupes, d’investir tous les points de contacts de manière performante. Alors, le (f)tunnel, on le jette ou on le garde ?
Le premier épisode de cette série #CausonsContentStrat pose le décor et une question : quelles qualités réunir aujourd’hui pour émerger du bruit avec une stratégie de contenus ?
Vous en êtes à votre énième article sur les « étapes du content marketing » et vous avez l’impression que tout cela tourne en rond ? Normal : la vraie vie ressemble à tout sauf à ce long fleuve tranquille.
À quoi va ressembler le content marketing à l’heure de la collecte des consentements et de la fin des cookies ? Comment faire de sa stratégie de contenu une stratégie de connaissance client ? Réponses avec Cyril Dhénin, Directeur associé de l’agence Brainsonic, en charge de la Performance et du Contenu.
